Je cherchais d'où me venait Le désir vain et dérisoire D'être de ceux qu'on reconnaît Et cette nuit, dans une histoire De gloire et de fausse-monnaie J'ai rêvé qu'on déboulonnait La statue du maréchal Ney Avenue de l'observatoire Hervé Gasser - janvier 2020

Source : gallica.bnf.fr
On trouve des choses de ce ton et de ce rythme dans Aragon.
Vous connaissez je suppose son texte sur la rime?
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« La rime en 1940″, publié dans le Crève-cœur, retrouvé dans ma bibliothèque ce matin, mais non lu… Merci pour cette flèche ! Il y a ces lignes indispensables : » la rime (…) participe à la nécessité du monde réel (…) est le chaînon qui lie les choses à la chanson, et qui fait que les choses chantent. Jamais peut-être faire chanter les choses n’a été plus urgente et noble mission à l’homme, qu’à cette heure où il est plus profondément humilié, plus entièrement dégradé que jamais. » Il faudrait écrire « La rime en 2020 » si ce n’était pour répéter la même chose.
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Bonjour.Vous écrivez superbement bien. Vous êtes mon blog préféré en ce moment, je veux dire que je n’ai pas trouvé mieux que vous. Je suis autrice également. Est-ce que cela vous intéresse de correspondre ensemble pour parler de nos expériences vécues, personnelles et projets? Cordialement. Sophie P.
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Bonjour, merci pour votre très gentil compliment, j’ai ouvert ce blog pour partager mes textes et c’est une grande joie pour moi qu’ils trouvent des lecteurs attentifs. Sincèrement, hg
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Une chanson ! Une chanson! 😉
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